La charge de travail par exemple dépend de la perception de chacun et celle-ci peut varier notamment en fonction des contextes de travail, des moyens à la disposition des salariés, des formes de coopérations, de surcharge de travail conjoncturelle ou structurelle…
En matière de risques psychosociaux, la charge de travail réfère à la quantité de travail à accomplir, aux exigences intellectuelles requises et aux contraintes de temps à respecter dans la réalisation du travail.
Mais on ne parle pas de charge mentale qui est un critère indéniable d’épuisement professionnel et cette forme de charge aussi est liée à la perception de celui qui y est soumis !
Dans un autre registre, il est aussi important de distinguer autonomie et indépendance, deux notions liées mais néanmoins subtilement différente !
L’autonomie fait appel à la capacité d’une personne à assurer seule divers actes de vie, à solliciter de l’aide, des conseils au bon moment et à bon escient ; l’indépendance est plutôt le fait de s’auto-régir sans en référer aux personnes alentour.
C’est donc bien de l’autonomie dans un cadre bien défini qu’il est important de donner aux collaborateurs !
La reconnaissance passe aussi par le soutien : une proposition d’idée, une période difficile, des difficultés opérationnelles, l’observation d’un état physique ou mental détérioré…
Soutenir ses collaborateurs nécessite indéniablement quelques étapes incontournables : disponibilité, accueil, écoute active, reformulation, aider l’interlocuteur à transformer sa pensée en demande …